Traduction (merci de ne pas poster ailleurs)
Journaliste : Avais-tu vu un film Twilight avant de te lancer dans l'aventure ?
Bill Condon : Oui, bien sûr.
Journaliste : Et qu'en as-tu pensé ?
Bill : J'ai été intrigué. J'ai commencé en faisant des films d'horreur et j'en cherchais un autre à réaliser. Les vampires me tiennent à coeur depuis que j'ai vu Dark Shadows quand j'étais petit. J'étais épaté par l'originalité, l'histoire est pleine de surprises et quand j'ai lu Breaking Dawn , j'en étais presque choqué. Elle a dit s'être lancé le défi de sortir de ce triangle amoureux et la façon dont elle l'a fait, je n'arrive pas à imaginer comment elle a pu penser à ça.
Journaliste : Après avoir signé, quelle fut ta première décision ?
Bill : Je pense que c'était de travailler avec Melissa Rosenberg sur le script, il n'était composé que des grosses lignes à ce moment. S'y plonger avec elle et tenter de créer un film cinématographique. Ca a demandé beaucoup de discussions.
Journaliste : Quelles étaient les idées que tu avais en tête avant le tournage ?
Bill : Je ressentais la même chose que Kristen, elle en parle tout le temps. Vous avez une relation particulière avec les livres et vous voulez vous assurer que vous ne trahissez pas son essence, que vous comprenez vraiment de quoi ça parle et arriver à le mettre en vision.
Journaliste : Qu'est-ce qui vous a surpris de l'expérience dans son entièreté ?
Bill : Probablement le dévouement des acteurs, je ne sais pas pourquoi ça m'a surpris mais ils ont un dévouement total pour la saga.
Journaliste : Qui s'est vraiment démarqué pour toi ?
Bill : Beaucoup d'entre eux mais je dois dire Kristen Stewart. Les épreuves qu'elle traverse dans ce film... Elle commence en étant la Bella que tout le monde connait, elle se marie, elle part en lune de miel, elle tombe enceinte, elle accouche, elle meurt, elle se transforme en vampire, elle devient une grande héroïne... une guerrière, une chasseuse... C'était très excitant d'être à ses côtés et la voir créer cet arc incroyable.
Journaliste : Elle était sur une montage russe d'émotions personnelles ou quoi? Comment a-t-elle fait ?
Bill : C'était difficile car chaque jour elle devait passer de vampire à femme enceinte... Personne n'est plus dur avec Kristen Stewart que Kristen Stewart. Je pense qu'elle avait une liste de scènes pour lesquelles elle était le plus préoccupée. Et quand elles arrivaient, vous pouviez voir qu'une partie de son rituel était de s'acharner jusqu'à temps qu'elle sente vraiment qu'elle est dedans. Et ensuite il y avait ce soulagement incroyable quand elle pouvait enlever une scène de sa liste.
Journaliste : Tu t'imaginais qu'autant de gens allaient parler de la scène de sexe. Il y a des rumeurs qui disent qu’initialement vous n'aviez pas reçu la mention tout public, c'est vrai ?
Bill : Ce n'était pas officiel, ils ont juste pointés le doigt sur quelques plans jugés trop "cliniques". Pour finir, ça a rendu la scène plus romantique. Mais bien sûr, quand j'ai intégré le projet, j'ai directement pensé au façon de réaliser cette scène de sexe car les gens l'attendent depuis si longtemps. Le film joue un peu avec vos attentes, vous le voyez mais ce n'est pas encore tout à fait ça, on vous en donne plus après... Avec un peu de chance, ça vous fait vivre l'expérience de la première fois de Bella et l'intimité qui va avec.
Journaliste : Dans une interview récente, j'ai lu que tu as déclaré qu'il y avait plus de romance et moins de "poussées". C'était ta décision ou celle de tes supérieurs ?
Bill : Ce n'était pas eux. C'est des "poussées" que venaient le problème de mention.
Journaliste : Apparemment, je ne sais pas si c'était le dernier jour mais il y a eu une danse et ils t'ont fait une blague. Qui est responsable ? Tu es tombé dans le piège ?
Bill : J'ai été complètement choqué. C'était un complot de certains vampires qui apparaissent dans la deuxième partie, je ne leur pardonnerai jamais. Mais c'était incroyable. Nous tournions une grosse scène avec 120 vampires et soudainement vous entendez 'Sweet Dreams' d'Eurythmics et ils commencent à danser...
Journaliste : Ce sera sur le DVD ?
Bill : Absolument mais pour le deuxième film.
Journaliste : Avais-tu vu un film Twilight avant de te lancer dans l'aventure ?
Bill Condon : Oui, bien sûr.
Journaliste : Et qu'en as-tu pensé ?
Bill : J'ai été intrigué. J'ai commencé en faisant des films d'horreur et j'en cherchais un autre à réaliser. Les vampires me tiennent à coeur depuis que j'ai vu Dark Shadows quand j'étais petit. J'étais épaté par l'originalité, l'histoire est pleine de surprises et quand j'ai lu Breaking Dawn , j'en étais presque choqué. Elle a dit s'être lancé le défi de sortir de ce triangle amoureux et la façon dont elle l'a fait, je n'arrive pas à imaginer comment elle a pu penser à ça.
Journaliste : Après avoir signé, quelle fut ta première décision ?
Bill : Je pense que c'était de travailler avec Melissa Rosenberg sur le script, il n'était composé que des grosses lignes à ce moment. S'y plonger avec elle et tenter de créer un film cinématographique. Ca a demandé beaucoup de discussions.
Journaliste : Quelles étaient les idées que tu avais en tête avant le tournage ?
Bill : Je ressentais la même chose que Kristen, elle en parle tout le temps. Vous avez une relation particulière avec les livres et vous voulez vous assurer que vous ne trahissez pas son essence, que vous comprenez vraiment de quoi ça parle et arriver à le mettre en vision.
Journaliste : Qu'est-ce qui vous a surpris de l'expérience dans son entièreté ?
Bill : Probablement le dévouement des acteurs, je ne sais pas pourquoi ça m'a surpris mais ils ont un dévouement total pour la saga.
Journaliste : Qui s'est vraiment démarqué pour toi ?
Bill : Beaucoup d'entre eux mais je dois dire Kristen Stewart. Les épreuves qu'elle traverse dans ce film... Elle commence en étant la Bella que tout le monde connait, elle se marie, elle part en lune de miel, elle tombe enceinte, elle accouche, elle meurt, elle se transforme en vampire, elle devient une grande héroïne... une guerrière, une chasseuse... C'était très excitant d'être à ses côtés et la voir créer cet arc incroyable.
Journaliste : Elle était sur une montage russe d'émotions personnelles ou quoi? Comment a-t-elle fait ?
Bill : C'était difficile car chaque jour elle devait passer de vampire à femme enceinte... Personne n'est plus dur avec Kristen Stewart que Kristen Stewart. Je pense qu'elle avait une liste de scènes pour lesquelles elle était le plus préoccupée. Et quand elles arrivaient, vous pouviez voir qu'une partie de son rituel était de s'acharner jusqu'à temps qu'elle sente vraiment qu'elle est dedans. Et ensuite il y avait ce soulagement incroyable quand elle pouvait enlever une scène de sa liste.
Journaliste : Tu t'imaginais qu'autant de gens allaient parler de la scène de sexe. Il y a des rumeurs qui disent qu’initialement vous n'aviez pas reçu la mention tout public, c'est vrai ?
Bill : Ce n'était pas officiel, ils ont juste pointés le doigt sur quelques plans jugés trop "cliniques". Pour finir, ça a rendu la scène plus romantique. Mais bien sûr, quand j'ai intégré le projet, j'ai directement pensé au façon de réaliser cette scène de sexe car les gens l'attendent depuis si longtemps. Le film joue un peu avec vos attentes, vous le voyez mais ce n'est pas encore tout à fait ça, on vous en donne plus après... Avec un peu de chance, ça vous fait vivre l'expérience de la première fois de Bella et l'intimité qui va avec.
Journaliste : Dans une interview récente, j'ai lu que tu as déclaré qu'il y avait plus de romance et moins de "poussées". C'était ta décision ou celle de tes supérieurs ?
Bill : Ce n'était pas eux. C'est des "poussées" que venaient le problème de mention.
Journaliste : Apparemment, je ne sais pas si c'était le dernier jour mais il y a eu une danse et ils t'ont fait une blague. Qui est responsable ? Tu es tombé dans le piège ?
Bill : J'ai été complètement choqué. C'était un complot de certains vampires qui apparaissent dans la deuxième partie, je ne leur pardonnerai jamais. Mais c'était incroyable. Nous tournions une grosse scène avec 120 vampires et soudainement vous entendez 'Sweet Dreams' d'Eurythmics et ils commencent à danser...
Journaliste : Ce sera sur le DVD ?
Bill : Absolument mais pour le deuxième film.
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