Interview de Stephenie Meyer pour Entertainment Weekly

Je vous ai traduit l'interview de Stephenie Meyer par Entertainment Weekly.

Merci de CRÉDITER avec LIEN si vous postez ailleurs.


La saga Twilight de Stephenie Meyer s’est vendue à plus de 100 millions de livres, engendrant une franchise cinématographique devenue une sensation internationale. Quand EW s’est entrenu avec l’auteur de 38 ans lors de la Comic Con le mois passé (elle refuse depuis de commenter les affaires récentes concernant Stewart et Pattinson), elle était déjà occupée à travailler sur deux autres adaptations, son roman Les Âmes Vagabondes et le classique de la littérature Young Adult, Down a Dark Hall de Lois Duncan.

Après la sortie de Breaking Dawn Part 2, nous aurons atteint la fin de l’adaptation cinématographique de Twilight. Comment le ressens-tu ?
Je contiens ma tristesse, mais elle commence à me gagner. Tout le monde me manque -Kristen, Taylor, et Rob. J’étais habituée à les voir tous les jours.

Tu travailles sur l’adaptation d’un autre de tes romans, Les Ames Vagabondes. Ton expérience avec Twilight a-t-elle changée tes sentiments sur la retranscription de tes livres à l’écran ?
C’est dur à dire. En règle générale, mon expérience a été positive, et en tant qu’auteure je pense avoir eu plus d’accès que quiconque. J’ai été de plus en plus impliquée au fur et à mesure des films. J’aime vraiment être utilisée en tant que ressource - comme par exemple lorsqu’un acteur avait une question sur le passé de son personnage. Et récemment, sur le tournage des Ames Vagabondes, j’ai été la seule à voir qu’un tracteur se baladait en arrière-plan d’un scène. Donc je peux être utile quelques fois - j’’ai un oeil fantastique (rires).

Tu es même apparue dans Breaking Dawn Part 1 en tant qu’invitée au mariage d’Edward et Bella.
Ce n’était pas mon idée et je détestais la robe ! Je déteste me voir à l’écran. Mais l’expérience en tant que telle, mis à part le fait qu’on se les gelait, était génial. J’étais assise avec Wyck Godfrey (le producteur de la saga), qui est là depuis le tout premier jour, et nous nous sommes créer notre histoire : il était un adjoint au shériff, et notre mariage battait de l’aile car il était amoureux du père de Bella, Charlie. Nous nous sommes beaucoup amusés, assis dans cette forêt froide.

Tu as appelée la fille d’Edward et Bella Renesmée, ce qui a été une source de rigolade même au sein des fans les plus passionnés de Twilight.
Je suis quelqu’un qui croit fortement en la réalité, et du fait qu’il ne faut pas s’amuser avec le nom des gens. Que votre enfant devienne strip-teaseuse ou avocate est largement influencé par le prénom que vous lui avez donné. Je ne nommerai jamais mon enfant Renesmée. Mais dans un univers fantastique, vous pouvez nommer vos personnage comme vous le souhaitez. Je n’aurais pas pu lui donner le prénom de Lindsay. Je n’aurais pas pu lui donner un prénom existant, ça m’aurait sembler incorrect. J’ai du choisir un nom que je trouvais complètement et totalement unique, qui ouvre la porte des taquineries. Porte que j’ai ouverte. Je prends toutes les taquineries et je comprends parfaitement !

Quelqu’un a peut-être nommé son enfant Renesmée...
Eh bien, ce serait très perturbant (rires).

As-tu un film Twilight préféré ?
Je ne dis pas que c’est le meilleur, car chacun a choses qui leur sont propres, mais je pense que New Moon est celui qui est le plus proche de ce que j’avais dans la tête. Ca a pu aidé que j’adore le réalisateur, Chris Weitz, c’est le rêve de travailler avec lui. C’était chouette de travailler avec tous les réalisateurs, mais Chris et moi nous comprenions vraiment.

Quand tu écrivais le premier tome de Twilight, as-tu imaginé qu’il deviendrait un tel phénomène ?
Si j’avais su que quelqu’un allait le lire, j’aurais tout arrêter immédiatement. Je n’aurais jamais été capable de le finir. C’est une énorme pression et ça m’a pris une éternité pour me décrire en tant qu’auteure. Je suis une lectrice, et pour moi les auteurs sont des créatures magiques.

As-tu déjà regardé True Blood ou The Vampire Diaries pour voir ce que mijotent les autres vampires ?
Non, je suis une grande froussarde (rires). Je suis très sensible.

Tweeter