ET Twilight Week [2]

Deuxième 'reportage' de la semaine Twilight d'ET. Attention SPOILERS pour ceux qui n'ont vu aucun TV spot.

Traduction (merci de créditer AVEC LIEN si vous postez ailleurs)

Journaliste : Encore 17 jours avec la sortie de Breaking Dawn Part 2 au cinéma et nous avons de nouvelles scènes croustillantes à vous dévoiler avant tout le monde.

Bella : Je ne laisserai personne te faire du mal.

Alice : Les Volturis... Ils arrivent.

Voix off : Dans ce nouveau spot TV, la famille d'Edward et Bella est désespérée...

Edward : Ma famille est en danger, j'ai besoin de votre aide.

Voix off : Venant à son aide, la meute de loups qui s'unit aux vampires pour la première fois.

Jacob : Les loups combattront.

Emmett : Ça devrait le faire !

Voix off : Pendant ce temps, les acteurs de Twilight ont traversé le globe pour promouvoir Breaking Dawn Part 2. D'abord, nous nous rendons à Rio pour rejoindre Taylor Lautner. Les fans brésiliennes étaient au rendez-vous et Taylor était prêt à les contenter, posant devant tous les appareils sur son chemin.

Taylor : Les fans sont incroyables et passionnées.

Voix off : Mais Taylor peut-il parler du moment le plus fou avec une fan ?

Taylor : Une femme m'avait demandé de signer son bras, je l'ai fait et ensuite la photo de son bras s'est retrouvée sur le net : elle s'était fait un tatouage de la signature.

Voix off : Ouch. Maintenant, passons à Ashley Greene qui était à Johannesburg.

Ashley : Je suis en Afrique du Sud mais j'ai hâte de revenir aux Etats-Unis pour vous voir tous, les gars !

Voix off : Occupée avec les fans et la presse, Ashley a tout de même réussi à s'approprier quelques moments à elle.

Ashley : Je me suis beaucoup amusée, je suis partie en safari, tout le monde est très gentil,...

Voix off : Bien sûr, Breaking Dawn Part 2 sortira le 14 novembre. Mais avant, Ashley devra se rendre au Nokia Theatre de Los Angeles le 12 novembre où elle sera rejointe par Taylor et les autres pour l'avant-première mondiale.

Taylor : Je suis super excitée et je l'attends vraiment.

Journaliste : Comme nous tous ! [...]

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